Bobby Kennedy parle de complot quant à l'assassinat de son frère.

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Un autre bijou...

Elton John a craqué pour Marilyn!



Elton John * Candle in the wind * live par musiclover4 _______________________________________________________________________________________Même Ebay ou Priceminister vendent les derniers souvenirs du 35ème président des Etats-Unis.

Une enfance sans amour

MM : Norma Jean Baker passe son enfance trimballée de famille d’accueil en famille d’accueil connaissant un unique répit à 7 ans, âge durant lequel elle vit quelques mois avec sa mère. Après l’internement de celle-ci, elle est placée en orphelinat et devient un numéro perdue au milieu de centaines d’autres petits pensionnaires. A ce moment-là, elle s’invente des parents de rêve en s’écrivant des cartes postales signées « papa et maman » et vit sa première histoire d’amour avec un président, Abraham Lincoln, à qui elle donne les traits de son père. A tout bout de champ, elle entend « Tais-toi ! » ou encore « Sois parfaite ! », ce qui va laisser inévitablement des traces indélébiles dans son développement personnel. _______________________________________________ JFK : Si Norma Jean a des parents en rêve, John n’a pas les parents dont il rêve avec un père et une mère absents, voire un aîné trop présent. Le premier, véritable businessman, s’intéresse bien davantage aux affaires et à ses maîtresses. Sous les yeux interrogatifs de ses propres enfants, il n’hésite pas à inviter dans sa famille celle qu’il présente comme son « associée », la star du cinéma hollywoodien Gloria Swanson. Rose, la femme bafouée, tente d’oublier la pénible situation, entre réunions mondaines et ferventes prières, alignant les moutards au même rythme que son époux les dollars. Enfant souvent rêveur, John se taille une réputation d’écervelé à l’école. « Ma mère ne m’a jamais prit dans ses bras, jamais ! » avouera-t-il plus tard. Les enfants Kennedy sont élevés par une armée de nounous, gouvernante et majordome. Le père leur parle « compétition » et leur mère, transformée en despote tatillon, leur impose ses nombreuses obsessions. Le challenge demeure omniprésent dans la vie des neuf frères et sœurs : « Les Kennedy formaient comme une nation avec sa langue et ses coutumes » s’extasie Rose. Quant à Jackie Bouvier, la future épouse de John, elle a une autre vision du clan : « …des gorilles échappés de leur cage ! »

Une jeunesse laborieuse

MM : Pour échapper à l’orphelinat, Norma Jean se marie à 16 ans avec Jim Dougherty. Alors que l’époux combat les puissances de l’Axe dans le Pacifique, elle participe à l’effort de guerre en pliant des parachutes dans une usine. C’est là qu’elle rencontre le caporal Conover, un photographe de l’armée aux ordres du capitaine Ronald Reagan, venu faire un reportage sur le travail féminin. Grâce à lui, cette fille au « magnétisme animal » décroche un contrat de mannequin à la Blue Box Models Agency, se donnant cent pour cent pour atteindre les lumières d’Hollywood. « Elle n’avait pas le magnifique nez de Liz Taylor, écrit Bert Stern, les lèvres parfaites de Brigitte Bardot, les yeux en amande de Sophia Loren mais elle était plus belle que les trois réunies. » André de Diesnes, autre célèbre photographe, précise : « Elle voulait de tout cœur que quelqu’un, quelque part, pense qu’elle valait quelque chose. »
___________________________________________________________ JFK : Dès son enfance, John est un leader, un chef de bande et ne travaille, à l’école, que ce qui lui plaît. Le directeur explique à ses parents qu’« il a cette capacité d’être un grand meneur d’hommes. » Le jour où celui-ci traite John et ses camarades de classe de « peigne-culs » pour avoir eu un comportement détestable, il n’hésite pas à arroser la salle de bal de crottin, quelques heures avant la grande fête annuelle de l’école, passant à deux doigts du renvoi. A l’âge de 20 ans, il prend conscience d’une autre vision du monde en visitant l’Europe avec son ami d’enfance, Lem Billings. Puis, l’été suivant, lorsqu’il travaille à l’ambassade des Etats-Unis à Londres auprès de son père mais aussi, de diplomates et membres du gouvernement. Un an plus tard, il voyage à travers l’Europe du Nord, s’arrête à Berlin le 20 août 1939, dix jours avant la déclaration de guerre. Il est l’homme qui a vu !

Premiers pas à Hollywood de Norma Jean Baker

En 1946, Norma Jean réalise 30 couvertures en six mois. Abeille laborieuse et fine guêpe, elle réinvestit l’argent gagné dans les cours de chant, danse ou expression théâtrale. Sa détermination tourne à l’obsession. L’heureuse midinette obtient un contrat de six mois avec la Fox. Malheureusement, un unique rôle de figuration lui est proposé avec une seule réplique... coupée au montage. Sans le sou, tous les moyens sont bons pour subsister. Son ami, Amy Green, avoue qu’ « en échange de repas, Marilyn offrait de rapides étreintes. » Plus tard, son professeur d’art dramatique, Lee Strasberg confirmera ses dires : « Elle a été call-girl ! » La jeune femme ne s’en cache pas : « J’ai passé beaucoup de temps à genoux ! » et parle du monde du cinéma non sans cynisme : « A Hollywood, la vertu d’une jeune fille a moins d’importance que le style de sa coiffure. » La promotion canapé bat son plein. Une rencontre avec Johnny Hyde, pygmalion complètement énamouré, lui offre le tournant de sa vie….

Premiers pas en politique de John Fitzgerald Kennedy

Son frère Joe Junior est destiné à un « destin grandiose sur la scène politique. » Et puis la tragédie arrive le 13 août 1944… Joe le père exhorte John à relever le défi avant d’« acheter » le fauteuil de représentant de la chambre à James Curley en échange d’une somme rondelette. Très sûr de lui, il ironise : « Nous allons vendre Jack [surnom de John] comme des savonnettes ! » avant de s’auto-déclarer directeur de campagne. John se démène la rage au ventre, aidé de ses frères, sœurs, amis de l’armée, de Choate ou d’Harvard. Les femmes vont l’aider à remporter la première élection dès 1946. Joe, cynique, conclut le premier épisode de la vie politique de son fils : « Avec tout ce que j’ai dépensé, j’aurai pu faire élire mon chauffeur. » Le jeune politique vole de victoire en victoire, tour à tour élu à la chambre des représentants et au sénat. Son père n’oublie pas de vanter les exploits du héros durant la seconde guerre mondiale ; quant à sa mère Rose, elle invente les teas-parties où elle raconte ses rencontres avec le roi Georges V à Londres ou les premières dents du chérubin. En 1958, John est élu sénateur avec un score époustouflant de 73,6% des voix.

La consécration

MM : Dans son orphelinat, la jeune Norma Jean, le regard perdu vers les lumières d’Hollywood qui jouxtent l’orphelinat, se répète sans cesse : « Il ya des milliers de filles seules qui rêvent de devenir vedettes de cinéma mais c’est moi qui rêve le plus fort. » A partir de 1952, Marilyn enchaîne succession de films plus médiatisés les uns que les autres : « Les hommes préfèrent les blondes », « Comment épouser un millionnaire », « Sept ans de réflexion », « Arrêt d’autobus », « Le prince et la danseuse », « Certains l’aiment chaud », « Le milliardaire » ou encore « Les désaxés » : plus rien n’arrête Marilyn professionnellement. Sur le plan personnel, sa vie privée est un désastre !____________________________________________________________________ JFK : Dans la famille Kennedy, Joe a certainement rêvé plus fort que tout le monde en répétant constamment à ses enfants : « Peu importe ce que vous faites, l’essentiel est de le faire mieux que les autres ! » ou encore « En politique, ce n’est pas ce que vous êtes qui compte mais ce que les gens croient que vous êtes. » Le 9 novembre 1960, John est élu à 43 ans, 35ème président des Etats-Unis d’Amérique. 1961: Discours d'investiture à Washignton.

La séduction dans la peau

MM : Après le tournage du Milliardaire, le Frenchie Yves Montant revoit, l’air rêveur, la frimousse angélique de la déesse à la croupe chasseresse: « Le rire de Marilyn, c’est vraiment quelque chose ! » Rien n’est laissé au hasard : une à trois heures de maquillage, un body entretenu au quotidien, une coiffure d’un blond qui invite à l’érotisme (Baudelaire n’écrivait-il pas : « Une femme doit être dorée pour être adorée ? »), un déhanchement fabriqué et une voix enfantine au souffle court, légèrement voilée, qui laisse s’échapper un humour des plus rafraîchissants. Le tout assorti de quelques bons mensonges pour faire pleurer dans les chaumières… Voici la recette de La Monroe, un mélange de féminité, d’innocence, d’intelligence et de physique très étudié avec une sensualité à défroquer n’importe quel confesseur. Les femmes cherchent à lui ressembler, les hommes ne pensent qu’à ça ! __________________________________________________________________ JFK : Les Kennedy représentent l’incarnation du rêve américain. Les femmes craquent pour ce jeune politicien au charme fou : « Elles veulent toutes devenir madame Kennedy.» Au fil des années, une équipe de communicants propose une image finement orchestrée d’un homme jovial, intègre, dans la fleur de l’âge, un héros de guerre en bonne condition physique, un mari idéal. Sous l’ère Kennedy, la Maison-Blanche rivalise avec Hollywood. La légende dorée est bien installée et l’omerta respectée en ce qui concerne l’addiction de John pour la gente féminine…

John et les femmes

JFK : John a de qui tenir : son grand-père Fitzy a eu une liaison torride avec Toodles [Salut], une prostituée au nom aguichant, jusqu’à y laisser sa carrière ; quant à son père Joe, il a multiplié les conquêtes et « Rose devait supporter ça ! » témoignera bien des années plus tard un proche de la famille. Les conquêtes féminines représentent Le Talon d’Achille de John dominé par un fort sentiment d’invulnérabilité, une impression de marcher sur l’eau. Celui qui prête son corps sans jamais se donner appelle ses proies « Kid ». Ses amis d’Harvard le surnomment : « Bam ! Bam ! Merci M’dame ! » et ses compagnons d’arme : « Le tringleur ! » Il consomme jusqu’à perdre haleine en tous lieux et dans tous les milieux, particulièrement fasciné par les stars d’Hollywood. Sa belle-sœur reconnaîtra : « John avait toujours voulu rencontrer Marilyn, c’était comme une idée fixe ! » Marié à Jackie, numéro un des Etats-Unis d’Amérique, il poursuit inlassablement sa quête effrénée. Un témoin ironise : « Il était plus chic de ne pas avoir couché ! » Certaines de ses relations donnent froid dans le dos, notamment quand il partage le lit avec la petite amie d’un mafiosi notoire du pays, ou une call-girl qui fréquente les plus hauts dignitaires soviétiques ou encore, une escort-girl intimement liée au pouvoir politique est-allemand. Pendant ce temps, le directeur du FBI John Edgar Hoover archive les secrets d’alcôve présidentiels. Images du bonheur familial.

Marilyn et les hommes

MM : Dans la relation aux hommes, Marilyn fait preuve d’« une grande générosité » en couchant jusqu’à l’overdose. Beaux ou laids, président des Etats-Unis ou chauffeur personnel de la star, les hommes la rassurent et le besoin de les avoir à ses côtés est omniprésent. Mais ses unions se suivent et se ressemblent : elle crève du manque d’amour. Arthur Miller, troisième mari de l’actrice, livrera cette confidence à un proche: « Toutes ses relations avaient un sens : le sens de l’espoir. » Ce qui n’empêche pas Marilyn de conclure dans les moments les plus noirs: « Comme femme, j’ai raté ma vie. »

Une fin tragique

MM :Dans la nuit du 4 au 5 août 1962, Norma Jean Baker s’éteint. Le médecin légiste conclut au « suicide probable » mais trop de dissimulations d’informations, de déclarations contradictoires et mensongères laissent planer le doute. Nombreux sont les protagonistes de l’affaire incrédules: le premier policier arrivé sur les lieux Jack Clemmons ne croit pas au suicide, l’assistant légiste pense le rapport d’autopsie falsifié ; et, selon la gouvernante Eunice Murray, Bobby Kennedy, le frère de John et ministre de la Justice, était présent dans l’après-midi du 4 août. Quant à John Miner, le procureur le plus légendaire de Los Angeles, il défend la thèse du meurtre. Alors qui a tué la star des stars?_______________________________________________________________ JFK : le 22 novembre 1963, les Américains viennent de perdre un membre de la famille. Qui a assassiné le 35ème président des Etats-Unis ? La commission Warren conclut à la thèse du « tireur isolé » avec la théorie de la balle magique. Le procureur Jim Garrison n’y croit pas une seconde et accrédite l’idée d’un autre tueur planqué derrière une haie. Oliver Stone développe cette hypothèse dans le célèbre film JFK. En 1979, une seconde commission avance la « forte probabilité » d’un second tireur. Alors QUI a tué le politique le plus important du XXème siècle* (*selon un récent sondage ) ? Au retour des obsèques, le Général de Gaulle avoue à un proche conseiller : « Nous ne saurons jamais la vérité, ce serait la fin des Etats-Unis. » Tragédie filmée par un commerçant de Dallas qui vient d'acquérir la caméra. Premières et dernières images.